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"L'avenir appartient à ceux qui croient en la beauté de leurs rêves."

Eleanor Roosevelt 

Jérémy TRACQ
Né le 12 janvier 1987 à St-Jean-de-Maurienne
Originaire de Bessans (Savoie - 73)

 

Maire de Bessans


Vice-président de la
Communauté de Communes
Haute-Maurienne Vanoise



Vice-Président du
Syndicat du Pays de Maurienne



Président de la
Mission Locale Jeunes Pays de Maurienne



Vice-président du
Centre "La Bessannaise"



Adhérent à Les Républicains


Correspondant Local de Presse
pour le Dauphiné Libéré


 

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20 novembre 2011 7 20 /11 /novembre /2011 21:06

Mariano-Rajoy.jpgLa droite a remporté dimanche, sans surprise, les élections législatives anticipées en Espagne. Mariano Rajoy, leader du Parti populaire, devrait prendre les commandes d'un pays en grandes difficultés.

 

Tous les indicateurs étaient au rouge pour le parti socialiste espagnol avant les législatives de ce dimanche, avancées de quatre mois en raison de la crise profonde que traverse le pays. La déconvenue attendue a bien eu lieu. Les premiers résultats sortis des urnes donnent une majorité absolue à la droite qui gagnerait entre 181 et 185 sièges (sur 350), contre seulement 115 à 119 pour le parti du Premier ministre sortant José Luis Zapatero.

 

Au pouvoir depuis 2004, les socialistes espagnols n'ont pas résisté à la crise qui a balayé très rapidement les gouvernements grec et italien.

 

Pendant les années fastes, Zapatero avait su imposer son style à la tête du pays et s'installer au pouvoir durablement. Il a pourtant été lourdement tenu pour responsable d'une crise économique qui pourtant, il faut bien le reconnaître, dépasse largement les frontières de l'Espagne.


Plus que pour ses récentes mesures d'austérité, le Parti socialiste a surtout été sanctionné pour avoir menti aux électeurs sur la réelle situation économique et avoir laissé exploser le chômage, qui s'élève aujourd'hui à 21,52% (presque un quart de la population active).


S'il n'a pas souhaité se soumettre une nouvelle fois au jugement du peuple, Zapatero a toutefois constaté ce soir la sanction terrible infligée à son gouvernement sortant et à son parti.

 

Mariano Rajoy, 56 ans, décrit comme un homme politique de qualité en dépit de son manque de charisme, devrait prendre prochainement la direction du nouveau gouvernement. Si les résultats se confirment, le Parti populaire n'aura besoin d'aucune alliance pour diriger.

Les chambres du Parlement seront installées le 13 décembre et le chef du gouvernement prendra ses fonctions le 20 décembre.

 

Mariano Rajoy a d'ores et déjà promis pour son pays une nouvelle étape dans la politique de rigueur et d'austérité. Les Espagnols le savent et y sont préparés, même si un véritable rejet s'exprime. Beaucoup ont d'ailleurs voté sans grande conviction lors de ces élections.

 

Le successeur de Zapatero, l'ancien Ministre de l'Intérieur Alfredo Perez Rubalcaba, va de son côté devoir travailler en profondeur pour redonner à son parti une image positive.

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