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"L'avenir appartient à ceux qui croient en la beauté de leurs rêves."

Eleanor Roosevelt 

Jérémy TRACQ
Né le 12 janvier 1987 à St-Jean-de-Maurienne
Originaire de Bessans (Savoie - 73)

 

Maire de Bessans


Vice-président de
la Communauté de Communes
Haute-Maurienne Vanoise



Membre du bureau du
Syndicat du Pays de Maurienne



Président de la
Mission Locale Jeunes Pays de Maurienne



Vice-président
du Centre "La Bessannaise"



Adhérent à Les Républicains


Correspondant Local de Presse
pour le Dauphiné Libéré


 

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Par téléphone : 06 89 49 12 24

Par mail : jeremy.tracq@orange.fr

Par courrier : Rue du petit Saint Jean
                     73480 BESSANS

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24 septembre 2012 1 24 /09 /septembre /2012 17:44

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C'est souvent dans les explications les plus simples que résident les meilleures vérité. En quelques lignes, que certains jugeront criantes de vérité, d'autres très libérales, voici le résultat de l'application de l'idéologie socialiste.

 

Un professeur émérite d’économie affirme n’avoir jamais recalé le moindre étudiant lors de l’examen de fin d’année. Il n’y a eu qu’une exception, une année où sa classe entière a échoué.


Cette classe était absolument convaincue que le socialisme est une idéologie qui fonctionne et que tendre vers un système égalitaire parfait, sans pauvre ni riche, est une bonne solution.


Le professeur dit alors : « OK. Nous allons donc mener une expérience du socialisme dans cette classe. A chaque contrôle, on fera la moyenne de toutes les notes et chacun recevra cette note. Ainsi personne ne ratera son contrôle et personne n’aura de très bons résultats. Un système égalitaire parfait. »


Au premier contrôle, on fit donc comme prévu la moyenne des notes de tous les élèves de la classe et tout le monde obtint un 13/20.

Les élèves qui avaient travaillé dur n'étaient pas très heureux, au contraire de ceux qui n'avaient rien fait et qui étaient ravis.

 

A l'approche du deuxième contrôle, les élèves qui avaient peu travaillé en firent encore moins, tandis que ceux qui s'étaient donné de la peine pour le premier test décidèrent de lever le pied et de moins réviser. La moyenne de ce contrôle fut de 9/20 ! Evidemment, personne n'était satisfait.

 

Quand arriva le troisième contrôle, la moyenne tomba à 5/20.

 

Les notes ne remontèrent pas par la suite, alors que fusaient remarques acerbes, accusations quant à ces mauvais résultats et noms d'oiseaux, dans une atmosphère épouvantable. Plus personne ne voulait faire quoi que ce soit si cela devait bénéficier à quelqu'un d'autre plutôt qu’à lui.


A leur stupéfaction, tous les élèves ratèrent leur examen final.


Le professeur leur demanda alors s’ils comprenaient les raisons de cet échec.


C’est simple : l’être humain est disposé à se sacrifier en travaillant dur quand la récompense est attractive et justifie l’effort. Mais quand cette récompense est retirée, plus personne à terme n’est prêt à faire le moindre effort pour atteindre l’excellence. Au bout du compte, l’échec est général.


Voici en conclusion un petit extrait d’un ouvrage d’Adrian Rogers, auteur américain, datant de 1984. Cela résume parfaitement les choses :


« Vous ne pouvez pas apporter la prospérité au pauvre en la retirant au riche. Tout ce qu'un individu reçoit sans rien faire pour l'obtenir, un autre individu a dû travailler pour le produire sans en tirer profit.

Tout pouvoir ne peut distribuer aux uns que ce qu'il a préalablement confisqué à d'autres.

Quand la moitié d'un peuple croit qu'il ne sert à rien de faire des efforts car l'autre moitié les fera pour elle, et quand cette dernière moitié se dit qu'il ne sert à rien d'en faire car ils bénéficieront à d'autres, cela mes amis, s'appelle le déclin et la fin d'une nation. On n'accroît pas les biens en les divisant. »

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