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"L'avenir appartient à ceux qui croient en la beauté de leurs rêves."

Eleanor Roosevelt 

Jérémy TRACQ
Né le 12 janvier 1987 à St-Jean-de-Maurienne
Originaire de Bessans (Savoie - 73)

 

Maire de Bessans


Vice-président de la
Communauté de Communes
Haute-Maurienne Vanoise



Vice-Président du
Syndicat du Pays de Maurienne



Président de la
Mission Locale Jeunes Pays de Maurienne



Vice-président du
Centre "La Bessannaise"



Adhérent à Les Républicains


Correspondant Local de Presse
pour le Dauphiné Libéré


 

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Par téléphone : 06 89 49 12 24

Par mail : jeremy.tracq@orange.fr

Par courrier : Rue du petit Saint Jean
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20 avril 2012 5 20 /04 /avril /2012 14:17

La France ForteLes 22 avril et 6 mai, les électeurs français sont appelés aux urnes pour choisir leur Président de la République. Au regard de l’évolution de la campagne, on peut raisonnablement penser que le deuxième tour opposera le président sortant Nicolas Sarkozy (UMP) et François Hollande (PS). 

  

Bien sûr, rien n’est jamais certain. Une surprise venant de Marine Le Pen (FN), Jean-Luc Mélenchon (FdG) ou François Bayrou (MoDem) reste possible. Leurs scores respectifs auront de toute manière une influence non négligeable sur le second tour. 

 

Mais aujourd’hui, la majorité des regards sont tournés vers un second tour traditionnel entre gauche et droite républicaines. 

 

Il y a plusieurs questions à se poser avant de voter : 

  • Qui souhaitons-nous porter à la tête de notre pays ? 
  • Qui est le plus à même de faire avancer notre pays dans les années à venir ? 
  • Qui est le plus à même de permettre à la France d’exister durablement dans un contexte mondial en perpétuel mouvement ? 

Bien sûr, la présidentielle, c’est la rencontre entre un homme (ou une femme) - avec sa personnalité propre - et le peuple. Il y a forcément une part d’affectif qui entre en considération.
 

Mais sorti de cela, il est indispensable de s’interroger sur la capacité du candidat à assumer les plus hautes fonctions de l’Etat.
 

Les 22 avril et 6 mai, c’est un choix très clair qui est proposé, entre deux visions de la France et de l’avenir tout à fait opposées.
 

D’un côté Nicolas Sarkozy…
 

Certains se disent : pourquoi ne pas se poser en préambule la question du bilan de Nicolas Sarkozy sur 5 ans. Bien sûr qu’il faut s’interroger sur cela.
 

Il est clair qu’il ne peut pas y avoir une satisfaction absolue : certains chiffres sont décevants et très inférieurs à ceux annoncés et espérés. 
 
 

Cependant, il est indispensable de remettre en perspectives le bilan de Sarkozy par rapport au contexte mondial, à la crise sans précédent traversée et à la situation de nos pays voisins. 

Si l’on prend cela en considération, le bilan s’avère tout à fait positif : la France a tenu bon là où ses voisins ont sombré. 

  

N’oublions pas que Nicolas Sarkozy a su conduire, avec son gouvernement, des dossiers majeurs, parmi lesquels :

  • Le sauvetage de la zone euro et la volonté sans failles de poursuivre la construction européenne.
  • La réforme indispensable du système de retraites.
  • L’introduction du service minimum dans les services publics.
  • La remise en avant de la valeur « travail ».
  • Le soutien aux entrepreneurs pour faciliter les embauches, réduire les écarts de compétitivité avec nos concurrents.
  • La suppression de la taxe professionnelle qui a permis de libérer l’économie. Les difficultés que cela crée pour les collectivités locales obligent ces dernières à repenser plus rigoureusement leur gestion budgétaire.
  • L’autonomie des universités.
  • Le développement de la recherche avec notamment le Crédit Impôt Recherche qui fait aujourd’hui l’unanimité.
  • La défense de la laïcité et la lutte contre toutes les formes d’intégrisme.
  • La défense d’un pays libre et responsable, au sein duquel il y a des droits mais aussi des devoirs.

Sur la valeur du travail, le poids de la fonction publique, les flux migratoires, le mérite, les dérives de l’assistanat… Nicolas Sarkozy a su libérer la parole de droite, briser les tabous. Il était grand temps, cela n’était plus arrivé depuis trop longtemps.


Le gouvernement a fait preuve, quoi qu’on en dise, quoi que l’on pense des résultats obtenus, de courage, de sens des responsabilités et offre aujourd’hui une vision réaliste de la France.


… de l’autre François Hollande


Face à cela, c’est du rêve que l’on essaie de nous vendre. François Hollande se pose comme le sauveur d’une France soi-disant aux abois (ce qui est faux).


Hollande promet beaucoup, en n’hésitant pas à abuser de la démagogie auprès d’électeurs amadoués par la moindre « mesurette ».


Mais attention : non seulement les promesses n’engagent que ceux y croient, mais surtout, quand on vous vend du rêve, le réveil est en général brutal.


Sur les retraites, l’emploi des jeunes, la création de postes de fonctionnaires, la sortie progressive du nucléaire… Hollande va dès son élection prendre des décisions qui vont sûrement paraître excellentes à tous ceux qui vont en profiter directement.


Seulement, sans vision responsable et à long terme, sans se soucier du coût, nous irons droit dans le mur. A terme, dans un contexte mondial, rappelons-le, extrêmement tendu et en mouvement perpétuel, Hollande nous amènera à la ruine et le contribuable le paiera au prix fort.


Ce que propose François Hollande, c’est l’impossible retour dans le passé, l’immobilisme. Revenir en partie sur la réforme des retraites, ce n’est pas responsable, il faut aller plus loin. Supprimer la défiscalisation des heures supplémentaires, ce n’est pas responsable non plus (c’est de la perte de pouvoir d’achat pour les Français).


Nous serons dépassés et relégués au second plan mondial, là où nous avons aujourd’hui toute notre place parmi les plus grands. Tout simplement car le programme socialiste, n’est ni ouvert sur le monde, ni moderne, ni réaliste, ni finançable.


Sarkozy, un point c’est tout !


Aujourd’hui et demain, nous avons besoin d’une France qui protège ses citoyens.


Aujourd’hui et demain, nous avons besoin d’une France qui a la confiance des dirigeants des plus grandes puissances mondiales et qui impulse une dynamique européenne.


Aujourd’hui et demain, nous avons besoin d’une France en mouvement, qui poursuit les réformes essentielles, qui avance et qui va plus loin.


Aujourd’hui et demain, nous avons besoin d’une France qui croit au travail, à l’action, à la participation des citoyens à leur avenir plutôt qu’à l’assistanat.


Aujourd’hui et demain, nous avons besoin d’une France réaliste et non pas d’une France bercée par des illusions.


Cette France, c’est la France Forte, la France avec Nicolas Sarkozy !

 

  

Jusqu’au 22 avril puis jusqu’au 6 mai, pour l’emporter :

  • Restons mobilisés quoi que disent les médias et les sondages. 
  • Expliquons clairement autour de nous la réalité du choix proposé. 
  • Evitons toute dispersion et toute abstention, dès le premier tour. 
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