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"L'avenir appartient à ceux qui croient en la beauté de leurs rêves."

Eleanor Roosevelt 

Jérémy TRACQ
Né le 12 janvier 1987 à St-Jean-de-Maurienne
Originaire de Bessans (Savoie - 73)

 

Maire de Bessans


Vice-président de la
Communauté de Communes
Haute-Maurienne Vanoise



Vice-Président du
Syndicat du Pays de Maurienne



Président de la
Mission Locale Jeunes Pays de Maurienne



Vice-président du
Centre "La Bessannaise"



Adhérent à Les Républicains


Correspondant Local de Presse
pour le Dauphiné Libéré


 

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Par téléphone : 06 89 49 12 24

Par mail : jeremy.tracq@orange.fr

Par courrier : Rue du petit Saint Jean
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28 avril 2012 6 28 /04 /avril /2012 20:24

Plan Glisse 2011-2012 (7)Comme chaque année depuis 2009, des enfants des écoles de Saint-Jean-de-Maurienne ont pu découvrir le ski alpin ou perfectionner leur pratique grâce au « Plan Glisse » mis en place par la Ville, en lien avec l’Education Nationale. Du CP au CM2, ils sont plus de 400 à avoir foulé les pistes du domaine des Sybelles.


La volonté de la municipalité de favoriser la découverte d’activités sportives et culturelles par les écoliers s’est concrétisée par un partenariat avec les remontées mécaniques du Corbier, de La Toussuire, de Saint-Jean-d’Arves, de Saint-Sorlin-d’Arves et d’Albiez-Montrond. Des magasins de sport prêtent leur matériel aux enfants.

 

Les écoles du ski français mettent à disposition des moniteurs pour favoriser l’apprentissage. Ils sont soutenus pour l’encadrement par des bénévoles du Club Alpin Français (CAF), de l’Association Départementale pour les Activités Physiques à l’Age de la Retraite (ADAPAR) et des Cyclotouristes Mauriennais.

 

Le Challenge de fin de saison a réuni des élèves de toutes les écoles pour des activités adaptées aux divers niveaux de pratique. L’école des Chaudannes a remporté le trophée, remis en présence entre autres de Pierre-Marie Charvoz, Maire de Saint-Jean-de-Maurienne, et les anciens champions de ski Jean-Pierre Vidal et Jean-Noël Augert.

 

Visionnez l'album du Challenge "Plan Glisse"

Plan Glisse 2011-2012 (11)

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28 avril 2012 6 28 /04 /avril /2012 14:19

L'Olympique de Marseille a poursuivi vendredi en match avancé de la 34e journée de Ligue 1 sa vertigineuse série de matchs sans victoire en Championnat. Lorient s'est imposé à domicile (2-1). Le maintien n'est toujours pas assuré...

 

Pour un peu, on aurait presque oublié à quand remonte la dernière victoire de l'OM en Championnat. Petit rafraichissement des mémoires : c'était à Rennes le dimanche 29 janvier ! Ce soir là, les Marseillais confirmaient leur retour au premier plan et envoyaient un signal fort en direction de leurs adversaires dans la course au titre.

 

Depuis, c'est le néant sur la Canebière. Marseille a accroché 4 misérables matchs nuls face à Lyon, Valenciennes, Nice et Caen. Toutes les autres rencontres ont été perdues.

 

Heureusement, la qualification face à l'Inter Milan en 8e de finale de la Ligue des Champions et la victoire en Coupe de la Ligue ont un peu éclairci un tableau bien noir ! Car si la crise est profonde, on n'ose imaginer ce qui serait arrivé sans ces performances remarquées.

 

Comme je le disais la semaine dernière après la défaite à Bordeaux, Marseille est en "roues libres" et n'a plus guère de motivation.

 

Face à Lorient, sans entrer dans le détail (car je n'ai pas vu la rencontre), les Olympiens ont globalement dominé. Malgré cela, une erreur de Morel (complètement en dedans depuis des semaines) et deux erreurs d'arbitrage ont eu raison de l'OM, trop rapidement distancé au tableau d'affichage.

 

Valbuena, bien servi par Rémy, a eu beau réduire le score, il n'a pas réussi à redonner le sourire à des supporters de plus en plus inquiets.

 

Car si la fin de saison est d'ores et déjà "pourrie", il s'agit désormais d'assurer le maintien en Ligue 1. Avec 41 points, soit 8 d'avance sur le premier reléguable, Marseille semble à l'abri d'une catastrophe. Mais tout de même, quelques points supplémentaires au cours des 4 dernières journées (face à Nancy, Saint-Etienne, Auxerre et Sochaux) ne feraient pas de mal !

 

Mercredi 2 mai, l'OM accueille Nancy pour le compte de la 35e journée de Ligue 1 (match à suivre sur Foot+ à partir de 19h).

 

Pour découvrir tous les résultats et le classement de la Ligue 1, consultez le site d'Eurosport.

 

Résumé du match Lorient - OM

27 avril 2012 


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24 avril 2012 2 24 /04 /avril /2012 08:22

Belle-et-Sebastien.jpgLe réalisateur et explorateur Nicolas Vanier envisage depuis plusieurs mois de faire revivre l’histoire de « Belle et Sébastien ». Il a choisi pour décor la Haute-Maurienne, une vallée qu’il affectionne.

 

Nicolas Vanier est bien connu en Haute-Maurienne. Et pour cause : il est à l’initiative de La Grande Odyssée, célèbre course de chiens de traîneaux qui fait chaque année étape entre Bramans et Bonneval-sur-Arc.

 

Prochainement, il devrait y prendre ses quartiers pour la réalisation d’un film narrant l’histoire d’amitié entre le jeune Sébastien et sa grande chienne blanche Belle.

 

Outre l’envie de remettre au goût du jour le célèbre feuilleton télévisé diffusé dans les années 60 (adapté ensuite en dessin animé) sur la première chaîne de l’ORTF, Vanier veut valoriser la beauté des Alpes et faire découvrir des paysages somptueux au grand public.

 

L’histoire sera nouvelle, pas un copier-coller de ce qui s’est fait par le passé, mais les personnages et les fondamentaux seront conservés.

 

Plusieurs repérages ont déjà eu lieu sur le terrain pour trouver les lieux exacts de tournage. Si tout se passe comme prévu, Nicolas Vanier et son équipe (environ 70 technciens) s’installeront à Bessans dès le mois de juin. Le tournage débuterait alors en juillet et durerait environ 14 semaines, afin de pouvoir profiter de la nature en été, en automne et en hiver.

 

La sortie du film est programmée pour Noël 2013.

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23 avril 2012 1 23 /04 /avril /2012 02:08

Hollande---Sarkozy-copie-1.jpg

Le premier tour de l’élection présidentielle 2012 n’a pas livré de surprise concernant le nom des deux candidats qualifiés pour le second tour. François Hollande (PS) et Nicolas Sarkozy (UMP) sont en tête, devant Marine Le Pen (FN) qui enregistre un score historique, dans un scrutin marqué par un taux de participation très positif, au-delà des 80%.

 

On nous avait annoncé une « vague rose », nous en sommes très loin. François Hollande est bien arrivé en tête du premier tour de l’élection présidentielle, mais sans toutefois être assuré d’un triomphe à l’issue du deuxième tour.

 

Selon les chiffres définitifs fournis par le Ministère de l’Intérieur, François Hollande recueille 28,63% des suffrages. Nicolas Sarkozy obtient quant à lui le score de 27,08%. Marine Le Pen suit avec 18,01% et devance nettement Jean-Luc Mélenchon (Front de Gauche) avec  11,13%. François Bayrou (MoDem) est 5e avec 9,11%. Eva Joly (EELV) enregistre 2,3% des voix. Les quatre autres candidats sont en-dessous de la barre des 2%.

 

Même si le président-candidat espérait il y a encore deux semaines figurer en tête du premier tour, son résultat n’apparaît pas rédhibitoire (l’écart est finalement bien plus faible que ce qui a été annoncé tout au long de la soirée par les instituts de sondages).

 

Et pour cause : si François Hollande est en tête, c’est incontestablement au détriment de son « meilleur allié » Mélenchon. Le leader communiste était donné au coude à coude avec Marine Le Pen depuis plusieurs jours par tous les sondages. Un certain « vote utile » a finalement primé.

 

En revanche, la candidate frontiste n’a rencontré aucun souci à ce niveau, ne laissant rien de son potentiel électoral  à Sarkozy (contrairement à son père en 2007).

 

Très certainement, Nicolas Sarkozy paye le contexte difficile d’un mandat marqué par une crise majeure. Il n’a pas eu comme il y a cinq ans cette capacité à rassembler autour de sa personne dès le premier tour. Cependant, il garde une réserve de voix potentiellement importante pour le second tour.

 

Hollande en tête au premier tour avec un Mélenchon au-dessus de 15%, cela aurait quasiment assuré une victoire de la gauche le 6 mai. Il n’en est rien.

 

Le rapport gauche/droite (hors Bayrou) théorique est actuellement de 44% pour la gauche contre 46,9% pour la droite.

 

Je dis bien théorique car les reports de voix ne sont évidemment pas automatiques, d’autant que si Mélenchon a appelé clairement à voter Hollande, il y a fort à parier que Le Pen ne fera pas de même en faveur de Sarkozy et laissera ses électeurs prendre leurs responsabilités.

 

Finalement, même avec un score décevant et bien inférieur à celui de 2007, François Bayrou et ses électeurs pourraient bien détenir une des clés de l’élection. Le centriste a affirmé qu’il s’adresserait aux deux candidats et qu’il prendrait ses responsabilités. On peut donc imaginer qu’il exprimera un choix clair entre les deux candidats encore en lice.

 

Un choix clair, c’est ce que vont désormais devoir faire les Français entre deux visions tout à fait opposées de l’avenir de la France (voir mon article « Un seul choix pour une France Forte »).

 

Nicolas Sarkozy a proposé, pour que toute la lumière soit faite sur le programme de chacun, que trois débats puissent se tenir entre les deux tours.

 

François Hollande a immédiatement refusé, ce qui peut se comprendre étant donné son avantage actuel en vue du second tour (selon les sondages) et la tradition d’un seul débat.

 

Seulement, dans une période aussi importante pour l’Histoire de la France, au cœur d’une crise économique majeure et dans un monde en constante évolution, nous ne pouvons nous permettre d’éluder certains sujets et de nous limiter à une sorte de référendum « pour ou contre Sarkozy ».

 

A cet effet, les calculs politiciens d’Hollande et les barrières de la coutume peuvent aisément être dépassés pour permettre aux Français de prendre pleinement la mesure de l’importance de la décision qu’ils doivent prendre.

 

En résumé

 

Au vu des résultats définitifs du premier tour, le rapport gauche/droite laisse à Nicolas Sarkozy une réelle chance de victoire, bien que les sondages le donnent pour l’instant perdant.

Un report optimal des voix de Marine Le Pen combiné à un vote favorable des électeurs de François Bayrou devraient permettre au Président sortant de prolonger son bail à l’Elysée.

Rappelons que, si jamais un président sortant n’avait été devancé au premier tour, tenir la corde n’est en rien un signe de victoire finale. Mitterrand en 1974, Giscard en 1981 et Jospin en 1995 en savent quelque chose.

 

La Savoie, fief de droite

 

Le département de la Savoie n’a pas été le reflet des résultats nationaux. Les électeurs ont placé Nicolas Sarkozy en tête avec 28,61% des suffrages, nettement devant François Hollande avec 23,64%. Marine Le Pen vient ensuite avec 18,92%.

A noter qu’à Saint-Jean-de-Maurienne, fait amusant, les deux favoris sont arrivés à égalité parfaite avec 1 035 voix.

A Bessans, Sarkozy obtient 30,87%, devant Hollande à 23,15% et Marine Le Pen à 20,90%.

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22 avril 2012 7 22 /04 /avril /2012 16:36

Bordeaux---OM---avril-2012.jpgPrivé de tout enjeu sportif en cette fin de saison après deux mois de résultats calamiteux en Championnat, l'Olympique de Marseille s'est une nouvelle fois incliné samedi sur la pelouse de Bordeaux (2-1), pour le compte de la 33e journée de Ligue 1.

 

Autant le dire tout de suite, j'ai choisi de faire court concernant Marseille. D'une part car le week-end que nous venons de vivre présentait des intérêts bien plus importants que le football. D'autre part car il n'y a plus rien à espérer de l'OM version 2011-2012.

 

Steve Mandanda et ses coéquipiers ont réalisé un parcours honorable en Ligue des Champions. Et ils ont remporté une troisième Coupe de la Ligue consécutive en battant Lyon dans un match pour l'honneur, décrochant par la même occasion leur billet pour l'Europa League la saison prochaine.

 

Point final ! Car pour le reste, il n'y a pas de satisfaction à avoir. La Coupe de France, qui semblait accessible, s'est dérobée au terme d'un match raté face aux amateurs de Quevilly. Et le Championnat a été un long chemin de croix.

 

L'OM avait mal débuté, a semblé un moment pouvoir revenir se mêler à la lutte, avant de définitivement sombrer en enchaînant pas moins de onze matchs sans la moindre victoire.

 

Cela fait donc douze depuis hier. Dans un stade Chaban-Delmas qui ne lui réussit guère, l'OM n'a pas pesé lourd face à Bordeaux. Deux buts encaissés avant la demi-heure de jeu ont ruiné les espoirs des olympiens de faire bonne figure. L'arbitre du match n'a pas non plus, il faut le dire, aider les Olympiens à s'en sortir, en oubliant deux penalty flagrants.

 

Le but de Jordan Ayew en seconde période, l'arrêt de Mandanda sur un penalty de Tremoulinas et une domination globale ont tout juste montré que Marseille pouvait faire mieux que ce qu'il montre depuis de trop longues semaines.

 

D'ores et déjà, il convient de reconstruire une équipe compétitive en vue de la saison prochaine. Plusieurs joueurs ont exprimé un souhait clair de s'inscrire dans la durée à l'OM. C'est notamment le cas de deux cadres de l'effectif : Loïc Rémy et Stéphane M'bia.

 

Espérons que Marseille saura les conserver et étoffer un effectif sûrement trop limité cette saison pour jouer sur les quatre tableaux. Espérons aussi que les dirigeants sauront éviter "l'explosion" à la tête du club et confirmerons Didier Deschamps dans ses fonctions s'il émet le souhait de rester en poste.

 

Vendredi 27 avril (finale de la Coupe de France oblige), l'OM se déplace à Lorient pour la 34e journée de Ligue 1 (match à suivre sur Orange Sport à 21h00).

 

Pour découvrir tous les résultats et le classement de la Ligue 1, consultez le site d'Eurosport.

 

Résumé du match Bordeaux - OM

21 avril 2012

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22 avril 2012 7 22 /04 /avril /2012 14:13

Courts-d-ecoles.jpgDans le prolongement du festival de courts-métrages Festivalloire, venu à Saint-Jean-de-Maurienne pour la première fois en 2011, des enfants des écoles de la ville ont réalisé leurs propres films, avec l’aide et les conseils avisés de professionnels du cinéma.

 

L’idée, proposée par Patrick Jorge, organisateur de Festivalloire, a immédiatement séduit la municipalité, dont la volonté est de favoriser la découverte par les écoliers d’activités sportives et culturelles.

 

Avec le soutien du Conseil Général de la Savoie, la ville a donc permis aux enfants de plusieurs classes de CM1 de réaliser des courts-métrages.

 

Avec un peu de connaissances théoriques et beaucoup de pratique, ils ont imaginé leurs projets puis les ont mis en scène, en étant eux-mêmes acteurs des scénarios.

 

Plusieurs mois de travail ont été nécessaires, à raison de 5 sessions d’une demi-journée par classe, plus une journée entière.

 

Des comédiens ont joué aux côtés des enfants, parmi lesquels Marthe Villalonga, Antoine Coessens et Tatiana Laurens Delarue.

 

Les 4 films créés, d’une durée de 3 à 5 minutes, ont été diffusé au théâtre Gérard Philippe à l’occasion de la 8ème édition de FestiValloire, devant un public conquis.

 

Certains films sont actuellement pressentis pour être primés dans différents festivals à travers la France.

 

Et pas moins de dix nouveaux films sont d’ores et déjà envisagés pour le début d’année 2013 avec des écoles de Saint-Jean-de-Maurienne et des communes voisines..

 

Pour visionner les films, rendez-vous sur le site des "courts d'écoles".

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20 avril 2012 5 20 /04 /avril /2012 14:17

La France ForteLes 22 avril et 6 mai, les électeurs français sont appelés aux urnes pour choisir leur Président de la République. Au regard de l’évolution de la campagne, on peut raisonnablement penser que le deuxième tour opposera le président sortant Nicolas Sarkozy (UMP) et François Hollande (PS). 

  

Bien sûr, rien n’est jamais certain. Une surprise venant de Marine Le Pen (FN), Jean-Luc Mélenchon (FdG) ou François Bayrou (MoDem) reste possible. Leurs scores respectifs auront de toute manière une influence non négligeable sur le second tour. 

 

Mais aujourd’hui, la majorité des regards sont tournés vers un second tour traditionnel entre gauche et droite républicaines. 

 

Il y a plusieurs questions à se poser avant de voter : 

  • Qui souhaitons-nous porter à la tête de notre pays ? 
  • Qui est le plus à même de faire avancer notre pays dans les années à venir ? 
  • Qui est le plus à même de permettre à la France d’exister durablement dans un contexte mondial en perpétuel mouvement ? 

Bien sûr, la présidentielle, c’est la rencontre entre un homme (ou une femme) - avec sa personnalité propre - et le peuple. Il y a forcément une part d’affectif qui entre en considération.
 

Mais sorti de cela, il est indispensable de s’interroger sur la capacité du candidat à assumer les plus hautes fonctions de l’Etat.
 

Les 22 avril et 6 mai, c’est un choix très clair qui est proposé, entre deux visions de la France et de l’avenir tout à fait opposées.
 

D’un côté Nicolas Sarkozy…
 

Certains se disent : pourquoi ne pas se poser en préambule la question du bilan de Nicolas Sarkozy sur 5 ans. Bien sûr qu’il faut s’interroger sur cela.
 

Il est clair qu’il ne peut pas y avoir une satisfaction absolue : certains chiffres sont décevants et très inférieurs à ceux annoncés et espérés. 
 
 

Cependant, il est indispensable de remettre en perspectives le bilan de Sarkozy par rapport au contexte mondial, à la crise sans précédent traversée et à la situation de nos pays voisins. 

Si l’on prend cela en considération, le bilan s’avère tout à fait positif : la France a tenu bon là où ses voisins ont sombré. 

  

N’oublions pas que Nicolas Sarkozy a su conduire, avec son gouvernement, des dossiers majeurs, parmi lesquels :

  • Le sauvetage de la zone euro et la volonté sans failles de poursuivre la construction européenne.
  • La réforme indispensable du système de retraites.
  • L’introduction du service minimum dans les services publics.
  • La remise en avant de la valeur « travail ».
  • Le soutien aux entrepreneurs pour faciliter les embauches, réduire les écarts de compétitivité avec nos concurrents.
  • La suppression de la taxe professionnelle qui a permis de libérer l’économie. Les difficultés que cela crée pour les collectivités locales obligent ces dernières à repenser plus rigoureusement leur gestion budgétaire.
  • L’autonomie des universités.
  • Le développement de la recherche avec notamment le Crédit Impôt Recherche qui fait aujourd’hui l’unanimité.
  • La défense de la laïcité et la lutte contre toutes les formes d’intégrisme.
  • La défense d’un pays libre et responsable, au sein duquel il y a des droits mais aussi des devoirs.

Sur la valeur du travail, le poids de la fonction publique, les flux migratoires, le mérite, les dérives de l’assistanat… Nicolas Sarkozy a su libérer la parole de droite, briser les tabous. Il était grand temps, cela n’était plus arrivé depuis trop longtemps.


Le gouvernement a fait preuve, quoi qu’on en dise, quoi que l’on pense des résultats obtenus, de courage, de sens des responsabilités et offre aujourd’hui une vision réaliste de la France.


… de l’autre François Hollande


Face à cela, c’est du rêve que l’on essaie de nous vendre. François Hollande se pose comme le sauveur d’une France soi-disant aux abois (ce qui est faux).


Hollande promet beaucoup, en n’hésitant pas à abuser de la démagogie auprès d’électeurs amadoués par la moindre « mesurette ».


Mais attention : non seulement les promesses n’engagent que ceux y croient, mais surtout, quand on vous vend du rêve, le réveil est en général brutal.


Sur les retraites, l’emploi des jeunes, la création de postes de fonctionnaires, la sortie progressive du nucléaire… Hollande va dès son élection prendre des décisions qui vont sûrement paraître excellentes à tous ceux qui vont en profiter directement.


Seulement, sans vision responsable et à long terme, sans se soucier du coût, nous irons droit dans le mur. A terme, dans un contexte mondial, rappelons-le, extrêmement tendu et en mouvement perpétuel, Hollande nous amènera à la ruine et le contribuable le paiera au prix fort.


Ce que propose François Hollande, c’est l’impossible retour dans le passé, l’immobilisme. Revenir en partie sur la réforme des retraites, ce n’est pas responsable, il faut aller plus loin. Supprimer la défiscalisation des heures supplémentaires, ce n’est pas responsable non plus (c’est de la perte de pouvoir d’achat pour les Français).


Nous serons dépassés et relégués au second plan mondial, là où nous avons aujourd’hui toute notre place parmi les plus grands. Tout simplement car le programme socialiste, n’est ni ouvert sur le monde, ni moderne, ni réaliste, ni finançable.


Sarkozy, un point c’est tout !


Aujourd’hui et demain, nous avons besoin d’une France qui protège ses citoyens.


Aujourd’hui et demain, nous avons besoin d’une France qui a la confiance des dirigeants des plus grandes puissances mondiales et qui impulse une dynamique européenne.


Aujourd’hui et demain, nous avons besoin d’une France en mouvement, qui poursuit les réformes essentielles, qui avance et qui va plus loin.


Aujourd’hui et demain, nous avons besoin d’une France qui croit au travail, à l’action, à la participation des citoyens à leur avenir plutôt qu’à l’assistanat.


Aujourd’hui et demain, nous avons besoin d’une France réaliste et non pas d’une France bercée par des illusions.


Cette France, c’est la France Forte, la France avec Nicolas Sarkozy !

 

  

Jusqu’au 22 avril puis jusqu’au 6 mai, pour l’emporter :

  • Restons mobilisés quoi que disent les médias et les sondages. 
  • Expliquons clairement autour de nous la réalité du choix proposé. 
  • Evitons toute dispersion et toute abstention, dès le premier tour. 
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20 avril 2012 5 20 /04 /avril /2012 08:41

Eva-Joly---Les-Guignols---2012.jpgA deux jours du premier tour de l'élection présidentielle 2012, difficile de prédire avec certitude le classement des différents candidats, qui sera divulgué dimanche soir à 20h00.

De leur côté, Les Guignols de Canal+ ont déjà établi un classement. Pas celui du nombre de suffrages accordés, mais celui des clips de campagne, détournés en musique avec un humour toujours bien pensé.

 

Dans l'extrait diffusé cette semaine sur Canal+, c'est Nikos Aliagas qui anime la grande soirée présidentielle et annonce le classement.

 

"Bonnet d'âne" pour Eva Joly, la candidate écologiste, dégoupillée par ses collègues socialistes dans une version revisitée de la chanson "Le temps des cathédrale" issue de la comédie musicale "Notre-Dame-de-Paris".

 

François Bayrou, fidèle à ses convictions centristes, apparaît en 5e position. Au coeur de la ruralité, avec son fidèle lieutenant Philippe Douste-Blazy, il livre un programme enfantin sur un air de Benabar, rebaptisé "Politiquement centriste" pour l'occasion.

 

Nicolas Sarkozy et ses alliés sont en deuxième position. Avec "Désolé" de Sexion d'assaut, ils s'excusent pour leurs cinq années d'action à la tête de la France et s'appliquent à redemander la confiance des électeurs.

 

François Hollande est en tête. Mais il ne cache pas son inquiétude d'une nouvelle désillusion pour le Parti Socialiste à travers "Alors on flippe", parodie de "Alors on danse" de Benabar.

 

Regardez, un grand moment de rigolade avant de revenir au sérieux dimanche.

 

Les Guignols de l'Info

Canal+ - avril 2012

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19 avril 2012 4 19 /04 /avril /2012 22:20

OM---Caen---avril-2012.jpgL'Olympique de Marseille a été tenu en échec (1-1) à domicile pas Caen, en match en retard de la 32e journée de Ligue 1. Malgré quelques bonnes occasions, les Phocéens ont eu du mal à cacher leur manque d'intérêt pour cette fin de Championnat.

 

Les discours officiels ont beau aller dans le sens de la mobilisation générale, la réalité du terrain est bien différente. Trois jours après sa victoire en finale de la Coupe de la Ligue face à Lyon, l'OM a laissé transparaitre un relâchement très clair.

 

Didier Deschamps et ses joueurs s'étaient pourtant appliqués dès la Coupe de la Ligue acquise à repousser toute éventualité d'une fin de saison sans enjeu et sans pression. Selon eux, l'OM reste l'OM et se doit de finir à la meilleure place possible au classement. Bien d'accord...

 

Pourtant, le jeu produit face à Caen ne va pas pleinement, loin s'en faut, dans le sens des discours.

 

Mandanda et les siens ne sont pas arrivés les mains dans les poches, n'exagérons pas. Mais il faut bien reconnaître qu'il n'y avait pas onze "morts de faim" sur le terrain. Sans doute avaient-ils été rassasiés par leur victoire de prestige face à Lyon en Coupe de la Ligue, dernier objectif d'une saison très mitigée.

 

D'entrée, Marseille s'est fait cueillir par l'attaque adverse, sur une relance manquée de Nicolas N'Koulou. Malgré le bon arrêt du capitaine marseillais, Bulot parvint en deux temps à pousser le cuir au fond des filets.

 

Vingt minutes de domination marseillaise plus tard, un penalty sifflé pour une main flagrante permis à Rémy de ramener les siens à égalité.

 

Malgré quelques offensives intéressantes, les Olympiens ne parvinrent pas à forcer la décision.

 

Sûrement n'ont-ils pas mis tous les ingrédients qui mènent à la victoire. Mais peut-on réellement le leur reprocher ?

 

Comme attendu, la fin de saison s'annonce longue et pénible. 10e au classement, DD et sa bande n'ont plus réellement d'objectif si ce n'est de "gratter" quelques places. Il faudra ensuite préparer déjà la saison prochaine. Avec Deschamps sur le banc ? Difficile à dire. Et avec quel effectif ? Nul ne le sait...

 

Découvrez tous les résultats et le classement sur le site d'Eurosport.

 

Samedi 21 avril, l'OM se déplace sur la pelouse de Bordeaux pour le compte de la 33e journée de Ligue 1 (match à suivre en direct sur Orange Sport à 21h00).

 

Résumé du match OM - Caen

18 avril 2012

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17 avril 2012 2 17 /04 /avril /2012 00:30

OM---OL---2012.jpg

Eliminé en Champions League, distancé en Championnat, humilié en Coupe de France, l’Olympique de Marseille a trouvé les ressources pour remporter pour la troisième année consécutive la Coupe de la Ligue, au terme d’une rencontre face à Lyon qui ne restera pas dans les annales.


L’OM n’avait plus qu’un objectif cette saison : battre le Lyon de Jean-Michel Aulas au Stade de France en finale de la Coupe de la Ligue. Mission accomplie, même si ce fut dans la douleur.

 

Après 52 jours sans la moindre victoire, la bande à Didier Deschamps a chassé ses vieux démons pour redonner la sourire le temps d’une soirée au peuple marseillais.

 

Coach DD avait fait le maximum pour disposer d’une équipe de départ en pleine possession de ses moyens. Mercredi face à Montpellier, il avait laissé plusieurs cadres au repos, ce qui avait eu pour effet d’entraîner une nouvelle défaite en Ligue 1 pour les siens.

 

Le résultat de samedi lui a donné raison.

 

Même si la partie ne fut pas exceptionnelle, loin de là, l’OM a eu globalement la maîtrise dans le jeu. Hormis sur quelques contre, l’OL eût les plus grandes difficultés du monde à s’approcher des cages de Mandanda.

 

Seul Gomis, oublié aux six mètres sur un corner, aurait pu de la tête faire la différence, s’il n’avait pas complètement manqué son coup de boule.

 

Finalement, la meilleure occasion du temps réglementaire fut à mettre à l’actif des Marseillais. Une tête à bout portant d’Amalfitano au premier poteau fut tout près de tromper la vigilance de Llloris, malheureusement sur la trajectoire pour dévier le ballon sur son poteau.

 

La prolongation s’annonçait d’ores et déjà comme un duel tactique entre Rémi Garde et Didier Deschamps, appliqués à penser des changements permettant à la fois d’espérer faire la différence et de préserver l’égalité numérique sur la pelouse dans un match tendu et haché par de trop nombreuses fautes.

 

L’expérience de la « Dèche » allait faire la différence. Une fois de plus, c’est l’entrée de Brandao qui fut décisive.

 

Sur une action initiée par Valbuena, Cheyrou parvint à centrer pour le Brésilien. Son contrôle lui permis d’éliminer son vis-à-vis. Profitant d’une demi-seconde d’hésitation de Lloris, il catapulta de près le ballon au fond des filets.

 

Souvent raillé, parti de l’OM l’an dernier dans des conditions obscures, celui que l’on pensait voué à une seconde partie de carrière dans son pays de natal est (re)devenu l’une des idoles du Vélodrome ! En vérité, à Marseille, personne n’a jamais détesté Brandao, au contraire. Tout le monde a toujours reconnu son esprit de combattant, à défaut d’être un génial buteur.

 

Les journalistes et les supporters des équipes adverses en ont ici pour leur grade !

 

Si comme le disait Deschamps cette victoire (1-0) ne suffira certainement pas à faire oublier les loupés d’une saison moyenne, l’OM a donné du bonheur à ses supporters.

 

Surtout, DD permet à Marseille de remporter un sixième trophée en trois ans sur la Canebière (1 titre de Champion, 3 Coupe de la Ligue, 2 Trophée des Champions).

 

Malgré ce palmarès éloquent, rien n’indique pourtant que l’ancien capitaine des Bleus sera toujours sur le banc la saison prochaine.

 

Mais à tous ceux qui, par mauvaise foi ou défaut de mémoire, semblent vouloir sacrifier Deschamps pour construire un autre avenir, je rappelle que quoi qu’il advienne, le palmarès parle de lui-même en faveur de DD. Il se passe de tout commentaire.

 

L’OM va pouvoir sereinement gérer sa fin de saison en Ligue 1. Mercredi, l’OM accueille Caen au stade Vélodrome pour le compte de la 32e journée (match à suivre sur Foot+ à partir de 18h30).

 

Résumé du match OM - OL 

14 avril 2012  

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