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"L'avenir appartient à ceux qui croient en la beauté de leurs rêves."

Eleanor Roosevelt 

Jérémy TRACQ
Né le 12 janvier 1987 à St-Jean-de-Maurienne
Originaire de Bessans (Savoie - 73)

 

Maire de Bessans


Vice-président de la
Communauté de Communes
Haute-Maurienne Vanoise



Vice-Président du
Syndicat du Pays de Maurienne



Président de la
Mission Locale Jeunes Pays de Maurienne



Vice-président du
Centre "La Bessannaise"



Adhérent à Les Républicains


Correspondant Local de Presse
pour le Dauphiné Libéré


 

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Par téléphone : 06 89 49 12 24

Par mail : jeremy.tracq@orange.fr

Par courrier : Rue du petit Saint Jean
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30 décembre 2013 1 30 /12 /décembre /2013 17:03

Emilien-Personnaz---Championnats-de-France-2013.jpgLe biathlète de Bessans Emilien Personnaz est devenu lundi à Prémanon Champion de France jeune de poursuite, au terme d’un joli duel avec Emilien Jacquelin.


Emilien Personnaz est en train de conforter sa place parmi les jeunes espoirs du biathlon français.


Dimanche et lundi avaient lieu les Championnats de France, initialement prévus aux Hôpitaux Vieux mais décalés à Prémanon en raison du faible enneigement dans le Doubs.


Dimanche, lors du sprint, Emilien avait été le plus rapide sur les skis, mais avait du se contenter de la troisième place derrière Emilien Jacquelin et Guillaume Munoz en raison d’un tir moyen à 6 sur 10.


Lundi, parti en embuscade dans la poursuite à 39 secondes du leader, le jeune haut-mauriennais a rapidement refait son retard. S’en est suivi un joli face à face entre les deux Emilien, dans lequel Jacquelin a d’abord pris l’avantage avant d’être repris et lâché par Personnaz dans le dernier tour.


Avec un tir correct à 16 sur 20 malgré un fort vent, Emilien Personnaz a su tirer profit de sa forme physique du moment.

 

"Sur les ski je me sentais vraiment bien, a-t-il affirmé quelques heures après son succès. J’aurais sans doute pu mieux tirer mais cela a suffi pour gagner et je suis très content".


Désormais, Emilien entend confirmer ces deux bons résultats et ainsi se qualifier pour les Mondiaux qui se dérouleront à Presque Isle (USA) du 28 février au 7 mars 2014.


Les autres biathlètes locaux, Julie Pépin et Tom Lahaye-Goffart, ont du se contenter de places d’honneur.

 

Photo : Nordic Mag

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30 décembre 2013 1 30 /12 /décembre /2013 08:58

A l’occasion du match d’exhibition « All Star Game » de basket organisé à Paris-Bercy dimanche soir, un jeune joueur amateur, Thomas Bérau, a réussi l’exploit de marquer un panier du milieu de terrain. Il a ainsi remporté la récompense du challenge : un chèque de 100 000 euros.


Chaque fin d’année, un grand match organisé par la Ligue nationale de basket réunit les meilleurs joueurs du championnat de France (joueurs français contre joueurs étrangers).


Dimanche, pour la vingt-huitième édition, un anonyme a volé la vedette aux stars des parquets.


Choisi au hasard parmi les spectateurs, comme c’est la règle, il a eu la chance de tenter le fameux "shoot à 100 000 euros", un challenge consistant à inscrire un panier du milieu de terrain, soit environ 11 mètres.


Thomas Bérau, 27 ans, joueur amateur du club de Morigny-Etrechy dans l’Essonne, a pris sa chance avec sérénité, sans aucun élan… et a vu le ballon entrer dans le panier sans même toucher le cercle !


Devant un public en délire, il a été largement félicité par les joueurs professionnels, qui se sont jetés sur lui pour le congratuler.


C’est la première fois dans l’histoire du "All Star Game" que ce challenge est réussi.

 

Le shoot de Thomas Bérau

All Star Game de basket

29 décembre 2013

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29 décembre 2013 7 29 /12 /décembre /2013 12:07

Snowkite

Cet hiver, les habitants et vacanciers de Haute-Maurienne Vanoise peuvent découvrir de nouvelles sensations en pratiquant le snowkite, en français "la planche à neige tractée".


Sur les domaines de Bessans et de Val Cenis Vanoise, l’école de glisse "Proglisses" promet à ses clients de grandes sensations de liberté avec la pratique du ski ou du snowboard tractés par le vent.


Le snowkite est le pendant estival du kitesurf. La différence est que la planche utilisée sur l’eau est remplacée sur la neige par des skis ou un snowboard.


Un cerf-volant à tractions permet de profiter du vent pour avancer et prendre un maximum de vitesse.


En snowkite, avec l’aide de Nicolas Cognet, moniteur diplômé d’état qui a récemment choisi de diversifier ses compétences dans l’apprentissage de cette discipline, les pratiquants pourront rapidement faire des progrès et prendre un maximum de plaisir, en toute sécurité.


Pour les plus chevronnés, il est possible d’atteindre des vitesses supérieures à 70 km/h.


Le snowkite ne doit pas être confondu avec le speedriding, un sport beaucoup plus extrême combinant ski et parapente.


L'école de glisse "Proglisses" propose des cours individuels et collectifs, essentiellement l’après-midi, à condition qu'il y ait un minimum de vent.

Pour plus d'informations : Nicolas Cognet au 06 08 94 64 18 ou rendez-vous sur le site Internet de "Proglisses".

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26 décembre 2013 4 26 /12 /décembre /2013 22:54

Arrivee-Pere-Noel---2013.jpgAprès une longue nuit à distribuer des cadeaux aux enfants du monde entier, le Père Noël a rendu une dernière visite aux enfants.


A l issue de la descente aux flambeaux assurée par l'Ecole du Ski Français, il est arrivé sur son traineau au pied des pistes de ski alpin.


Pour le plus grand bonheur des enfants, le vieil homme avait encore quelques bonnets lumineux au fond de sa hotte. Il les a offerts en prenant le temps de poser pour quelques photos avec ses jeunes admirateurs.


Il est ensuite reparti pour des vacances bien méritées, tandis que petits et grands se rassemblaient autour du vin et du chocolat chauds.

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25 décembre 2013 3 25 /12 /décembre /2013 00:34

Noel-2013-copie-1.jpg

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24 décembre 2013 2 24 /12 /décembre /2013 21:05

Creche-de-Noel---2013---JP.-Garinot--4-.JPGPlusieurs centaines de personnes étaient rassemblées à la tombée de la nuit à proximité de la salle de l’Albaron. A Bessans, la crèche vivante est un rituel pour certains, une découverte pour d’autres.


Tout débute lorsque la cloche sonne les coups de 18h00. Les anges apparaissent devant une petite grotte bâtie dans la neige. A l’intérieur, le petit Jésus, né au lieu-dit « L’Esseillon », est entouré de Marie et Joseph, ainsi que de plusieurs animaux réchauffant l’atmosphère hivernale.


Au fil de cette belle histoire contée et des chants en patois local, bergers, habitants du village et des hameaux, vêtus de costumes traditionnels, rejoignent le divin enfant et déposent des offrandes à ses pieds.


Au total, ce sont plus de cinquante volontaires qui donnent vie à cette représentation de la Nativité.


Avant de se réunir en famille pour le Réveillon et pour certains de se rendre à la messe de Noël célébrée à l’église Saint-Jean-Baptiste, figurants et spectateurs ont partagé vin et chocolat chauds.


Pour ceux qui auraient loupé la crèche vivante de Noël, elle sera de retour le lundi 30 décembre à 18h00 avec l’arrivée des Rois mages.


Photo : JP.Garinot

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24 décembre 2013 2 24 /12 /décembre /2013 12:40

Inauguration-Inventaire-du-mobilier---J.Tracq--6-.JPG

Mercredi 18 décembre, plusieurs dizaines de personnes ont répondu à l’invitation de Jean-Nicolas Suiffet, pour l’inauguration du magasin "L’Inventaire du mobilier".


Ce nouveau magasin a ouvert ses portes le 14 novembre 2013. Situé rue des encombres, à l’emplacement occupé auparavant par "La Boîte à Outils", il propose à l’achat des meubles neufs de qualité, des canapés, de la literie…


Les enseignes "L’Inventaire du mobilier" se sont imposées parmi les références dans ce domaine d’activité.


Avec ce nouveau commerce, Jean-Nicolas Suiffet, déjà propriétaire à Saint-Jean-de-Maurienne du magasin "Place de la Literie", entend diversifier sa clientèle et participer à la dynamique en faveur du commerce local.


Lors de l’inauguration, en présence de Jean-Paul Margueron, Maire-adjoint, et d’Anne Burgalières, Manager de centre-ville de la Communauté de Communes, il a remercié les personnes qui ont contribué à la concrétisation de ce projet et émis le souhait de voir le commerce saint-jeannais, notamment celui de la zone commerciale, se développer dans les mois à venir.

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23 décembre 2013 1 23 /12 /décembre /2013 19:47

OM---Bordeaux---2013.JPGComme face à Lyon une semaine plus tôt, l’Olympique de Marseille a été mené 2-0 par les Girondins de Bordeaux avant de revenir au score et d’arracher un match nul (2-2).


L’arrivée sur le banc de l’OM de José Anigo n’a pas créé l’électrochoc tant espéré par les supporters. Du moins pas complètement.


Si les Phocéens semblent acquérir peu à peu la « haine de la défaite » qu’a souhaité inculquer le coach / directeur sportif, ils peinent à gagner des points en Championnat, alors que cela est absolument indispensable pour garder espoir d’accrocher une place sur le podium en fin de saison.


Dimanche, pour leur dernière sortie de l’année, les coéquipiers de Steve Mandanda ont d’abord semblé pouvoir faire rapidement la différence. Grâce notamment au duo Gignac – Thauvin, très en jambes, le danger est arrivé rapidement sur le but de Cédric Carrasso. Mais l’ancien portier marseillais a d’abord sortie d’une belle parade une frappe puissante de Thauvin. Puis c’est le jeune milieu de terrain offensif qui a loupé le plus facile après avoir effacé d’une feinte de frappe bien sentie deux défenseurs bordelais.


Après vingt minutes plutôt abouties, l’OM a commencé à se relâcher et à subir davantage. Et il a suffit d’un corner bien frappé pour que Jussié profite de l’apathie défensive générale des Marseillais pour déposer tranquillement le ballon au fond des filets.


Menés à la pause, les Olympiens ont tenté de se révolter dès le retour des vestiaires. Mais sur un centre anodin, une incroyable tête en retrait loupée par Abdallah offrit à Maurice-Bellay un but tout fait.


Partis pour concéder une défaite moralement très difficile à encaisser, les Phocéens se sont ensuite rebellés avec une minute de folie, de celles qui font chavirer le Vélodrome de bonheur.


Romao, à la réception d’un coup-franc de Thauvin repoussé par Carrasso, remis son équipe sur les bons rails. Il fut imité quelques instants plus tard par Gignac, bien servi par Mendy et à l’affût pour devancer le retour des défenseurs adverses.


En fin de partie, plusieurs opportunités de l’emporter ont été sorties par le gardien, laissant donc un sentiment mitigé : celui d’avoir su se révolter pour ne pas perdre, mais de ne pas avoir pu l’emporter malgré deux buts inscrits en raison d’erreurs défensives inacceptables à ce niveau.


Après la trêve, dimanche 5 janvier, l’OM accueillera Reims au Vélodrome pour les 32e de finale de la Coupe de France (match à suivre en direct sur Eurosport à 20h45).

 

Résumé du match OM – Bordeaux

Ligue 1 – 19e journée

22 décembre 2013

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22 décembre 2013 7 22 /12 /décembre /2013 19:27

Sages-femmes-en-greve.jpgDepuis deux mois, les sages-femmes de France ont entamé une grève illimitée dans le but d’obtenir une meilleure reconnaissance de leurs compétences. Dans l’obligation de poursuivre leur travail en raison d’assignations, leur mouvement est longtemps passé (presque) inaperçu. Mais le durcissement du conflit ces derniers jours a fait sortir de l’ombre celles qui chaque jour permettent à des milliers de femmes de donner la vie dans de bonnes conditions.


Les sages-femmes sont en colère et comptent bien le faire savoir. Elles étaient près de 6 000 à défiler à Paris le 7 novembre, et encore plus de 4 000 le 16 décembre.


Déplorant depuis des années l’absence de reconnaissance de leurs compétences, elles ont décidé de se battre pour que cela change.


Pendant plusieurs semaines, assignées au travail, elles ont poursuivi leur activité tout en essayant de se faire entendre par de nombreuses actions (comme par exemple camper en plein mois de décembre devant les établissements).


Mais face à l’absence de réelles avancées, le mouvement prend depuis plusieurs jours une autre tournure, beaucoup plus dure. Dans certains hôpitaux, un nombre massif d’arrêts maladie a été constaté. Dans d’autres les sages-femmes ne se sont pas présentées à leur travail, attendant que l’hôpital vienne leur remettre l’assignation en main propre à leur domicile.


A ce rythme, des situations très problématiques pourraient très bientôt se présenter dans certaines maternités.

A moins que le gouvernement ne daigne répondre enfin avec sérieux aux revendications exprimées, à savoir :

  • la reconnaissance comme professionnelles de premier recours, c’est-à-dire comme le praticien vers lequel les femmes peuvent être orientées en premier pour leur suivi gynécologique.
  • l’obtention d’un statut médical à l’hôpital, celui de praticien hospitalier, afin d’être plus autonomes.

Il est vrai qu’en ayant fait cinq ans d’études, dont la difficile et très sélective première année de médecine, les revendications des sages-femmes apparaissent on ne peut plus logiques.


Mais alors que la Ministre de la Santé Marisol Touraine joue la montre, promettant de poursuivre les négociations et de trouver un accord avant le mois de mars, d’autres comme le Ministre du Travail Michel Sapin, ne semblent pas enclin à lâcher du terrain et n’ont semble-t-il pas compris que les sages-femmes ne demandent pas à être mises au niveau des médecins, mais simplement à être considérées à leur juste valeur.


"Nous sommes assimilées à un statut non médical alors que, comme les médecins et les dentistes, nous prescrivons, nous dépistons, nous diagnostiquons la pathologie. On veut juste être dans la bonne case", expliquait récemment Caroline Raquin, Présidente de l’organisation nationale syndicale des sages-femmes.


En début de semaine, une rencontre entre les syndicats et la Ministre de la Santé a laissé transparaître des désaccords assez forts entre les différents protagonistes. L’un des collectifs à l’origine de la fronde a même claqué la porte de la réunion.


Ce collectif souhaite sortir de la fonction publique et demande le statut de praticien hospitalier, refusant toute solution intermédiaire. Sur ce point, il estime pour l’heure ne pas avoir été entendu et regrette que sa revendication ait été totalement flouée.


Seulement, il n’y a pas qu’avec le gouvernement que ça bloque.


Contrairement au collectif regroupant plusieurs organisations de sages-femmes, les syndicats "historiques" (CGT, CFDT, FO, UNSA et Sud) veulent rester dans la fonction publique. Ils estiment "qu’à salaire égal, il n’y a pas de raison de sortir de la fonction publique". Du coup, ils ont exprimé leur satisfaction concernant les propositions formulées par le Ministère.


Personnellement, je ne vois rien de surprenant à cette position des Cégétistes et assimilés. Défenseurs de la fonctionnarisation à outrance, ces "syndicalistes de pacotille" ont largement prouvé leur absence d’indépendance et leur connivence avec le Parti Socialiste lors de la dernière élection présidentielle.

Et pour ceux qui doutaient encore, il suffit de constater le récent ralliement au PS pour les élections européennes d’Edouard Martin, emblématique syndicaliste d’ArcelorMittal à Florange.


Mais le moins que l’on puisse dire, c’est que la division autour des revendications ne va pas jouer en faveur des sages-femmes et place le gouvernement en position de force.


D’autant qu’une partie des médecins - qui craignent que l’accès des sages-femmes au statut de praticien hospitalier ne porte préjudice à leur autorité et à leur position dominante au sein des hôpitaux - ont eux-aussi pris position pour le maintien des sages-femmes dans la fonction publique.


Il reste donc aux sages-femmes à poursuivre leur combat et la radicalisation de leurs actions, afin d’être entendues rapidement. Sinon, le conflit risque fort de s’éterniser.

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22 décembre 2013 7 22 /12 /décembre /2013 08:48

Belle et Sébastien - affiche 2013Le film événement de Nicolas Vanier "Belle et Sébastien", tourné en Haute-Maurienne en 2012 et dont la sortie nationale a eu lieu ce mercredi 18 décembre, a enregistré des débuts très encourageants qui laissent augurer d’un succès au box-office.


Au cours de l’automne, les diffusions en avant-première du film inspiré de la célèbre série télévisée des années 60 avaient ravi le public mauriennais. Seulement, le fait que le film ait été tourné dans la région, avec la participation de nombreux habitants de la vallée, faisait que le public était par avance conquis.


La sortie nationale était donc attendue avec impatience par l’équipe du film, afin de sentir l’enthousiasme ou non du grand public.


Les débuts ont été satisfaisants. Mercredi, le film a réalisé le meilleur démarrage de la semaine dans les salles parisiennes, devançant de peu « Suzanne » de Katell Quillévéré, mais surclassant largement un film en 3D au sujet des dinosaures et une œuvre retraçant la quête de liberté du regretté Nelson Mandela.


A travers le pays, dans 660 salles en France, 62 128 spectateurs ont découvert l’histoire du jeune Sébastien (Félix Bossuet) accompagné de la chienne Belle, en pleine Seconde Guerre Mondiale.

 

Nul doute que l'arrivée des vacances de Noël sera propice à attirer le jeune public dans les salles ainsi que des adultes nostalgiques de la série qui a bercé leur enfance.

 

Quelques critiques sur le net

 

Première : Les paysages de montagne offrent de spectaculaires images et ce bon gros chien blanc assis dans la neige près d’un joli garçonnet à bonnet rouge (ou dans la prairie verdoyante car trois saisons s’écoulent) donne lieu à quelques vues de cartes postales charmantes et désuètes.

 

StudioCiné Live : Un film à hauteur d'homme et à l'esprit d'enfant qui devrait rougir les yeux de vos chères têtes blondes.

 

A voir à lire : Le réalisateur de Loup et Le dernier Trappeur adapte avec talent la série créée par Cécile Aubry. Une belle histoire d’amitié canine aux images somptueuses.

 

Le Journal du dimanche : Une sortie familiale par excellence.

 

France TV : Un joli film pour les fêtes, de très belles images et des bons sentiments. Manque toutefois une teneur dramatique forte. Nicolas Vanier parvient pourtant à faire passer le drame de cet enfant orphelin qui trouve en cette magnifique chienne immaculée une « mère » de substitution. Le film évite cependant toute nostalgie envers la série des années 60 et son côté quelque peu larmoyant. Un gentil film de Noël.

 

L’Express : Le film se démarque joliment de son modèle (la série). Avec des décors somptueux, superbement mis en images par Nicolas Vanier, un habitué du genre.

 

Les fiches du cinéma : Si le film respecte l'esprit d'origine, il ne fait toutefois pas preuve d'une grande personnalité. Honnête mais peu exaltant, à l'exception de Belle.

 

Le Figaro : Un beau film d'aventures, un peu long pour les enfants.

 

La Croix : Le film de Nicolas Vanier célèbre l’amitié et l’amour de la nature, sur fond de Seconde Guerre mondiale.

 

Le Monde : En réadaptant la célèbre série télévisée de 1965, Nicolas Vanier se sait attendu au tournant et ne lésine pas sur les moyens. Un beau spectacle mais un tableau naïf de l'occupation nazie.

 

Nouvel Obs’ : Dès les premières images, Nicolas Vanier impose son indéniable talent par sa manière de filmer la beauté vertigineuse de la montagne, mais aussi, d’une simple perspective ou d’un pertinent effet de montage, ses innombrables dangers. Il fallait cela pour sublimer le récit initiatique d’une amitié indéfectible entre un garçonnet esseulé et un chien sauvage, en revanche inutilement replacé dans le contexte de la Seconde Guerre mondiale.

 

Le Parisien : Nicolas Vanier réalise une adaptation modernisée dans ses dialogues et sa mise en scène, tout en gardant ce qui faisait l’essence même du succès de la série dans les années 1960. On retrouve ce gamin à la recherche de sa mère et qui passe son temps avec Belle. De plus, Nicolas Vanier a l’art de filmer la nature et les animaux comme personne. Enfin, les nostalgiques retrouveront avec joie Mehdi, qui incarne le bûcheron André.

 

Télérama : Eh oui, ils reviennent, l'adorable bambin des montagnes et sa non moins craquante boule de poils. On ne va pas vous mentir, moins vous serez loin de votre 10e anniversaire, plus vous apprécierez. Mais le récit est plutôt rythmé et le petit Sébastien, à croquer...

 

Télé 7 jours : Cinquante ans après la série culte de Cécile Aubry, l'explorateur Nicole Vanier en signe le remake, dont il transpose judicieusement le scénario pendant la Seconde Guerre Mondiale.

 

Version Femina : A défaut d’un scénario musclé, la bluette désuète se déroule sans surprise. A voir si on peut se contenter de quelques belles images et du joli minois de Félix Bossuet

 

Le Canard Enchaîné : Un honnête divertissement pour les enfants.

 

Reportage de Nicolas Vanier

Hameau de l'Ecot

TF1 - Là où je t'emmenerai

14 décembre 2013

    

Reportage sur "Belle et Sébastien"
France 2 - Télématin
20 décembre 2013
Telematin---decembre-2013.jpg
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