La Ville de Saint-Jean-de-Maurienne a organisé mardi 25 juin une dictée géante. Pour cette 3e édition, la salle polyvalente était complète, avec 120 participants, enfants et adultes.

Dans le cadre de sa politique du « mieux vivre ensemble », la Ville de Saint-Jean-de-Maurienne organise chaque année depuis 2011 une dictée géante intergénérationnelle.

Pour l’édition 2013, Florence Lemaire, professeur de français, avait travaillé à l’adaptation de textes de Gustave Flaubert pour les adultes et de Maurice Carême pour les enfants.

Les enfants ont ouvert l’événement en réalisant leur dictée de manière individuelle, avant que les adultes ne planchent sur un extrait de « Madame Bovary » en binômes (composés parfois d’enfants).

Au terme de la soirée, les meilleurs « ambassadeurs de la langue française » ont été récompensés par Pierre-Marie Charvoz, Maire de Saint-Jean-de-Maurienne, Marie-Paule Grange, Maire-adjointe chargée des affaires sociales et des ressources humaines, Marie-Françoise Stein, Maire-adjointe chargée du tourisme, de l'animation et de la culture, ainsi que Sophie Pelletier, membre de la commission extra-municipale intergénérationnelle et qui faisait partie du jury.

Le binôme ayant commis le plus grand nombre d’erreurs a également reçu un dictionnaire, le tout dans un esprit convivial dont Daniel Gaïnetdinoff, maître de cérémonie, était le garant.

Résultats de la dictée « enfants » :

1 – Florine Sibué

2 – Charlotte Crépeaux

3 – Gabriel De Sevin et Marie Leduc (ex-aequo)

Résultats de la dictée « adultes » :

1 – Aurélie et Anne Wackermann

2 – Noëlle Foray et Danielle Cortese

3 – Françoise Gelot et Balki Mouhaman

…

51 – Malou Pautas et Léa Bruni

Comme le veut la tradition villageoise, un grand feu a été embrasé à l’occasion de la fête de Saint-Jean. Ce feu marque l’arrivée de l’été, quelques jours après le solstice.

En attendant le début de la fête, les enfants présents ont profité du terrain de foot à proximité pour disputer quelques petits matchs.

A la tombée de la nuit, un bûcher bien fourni en bois a été allumé par les services de l’Office de Tourisme de Haute-Maurienne.

Une trentaine de personnes étaient présentes pour admirer ce grand feu et profiter de l’ambiance musicale en accompagnement.

La Fête de la musique en Haute-Maurienne se déroulait cette année à Sollières-Sardières. Trois groupes ont assuré l’ambiance.

Chaque année, l’Office de Tourisme de Haute-Maurienne coordonne les festivités de la Fête de la musique dans la vallée. Pour l’édition 2013, la commune de Sollières-Sardières était l’hôte des trois concerts donnés par les groupes Cilcé, Planète Zinc et Skyzo Fred. 

Dès 20h00, les premiers spectateurs se pressaient à proximité de l’église de Sardières, où étaient proposées une buvette et des grillades.

Une navette avait été mise en place entre Bonneval-sur-Arc et Bramans. 

Tout au long de la soirée, l’ambiance a battu son plein dans des styles variés et adaptés aux différents publics présents.

Elus et services municipaux portent actuellement une attention particulière aux cours d’eau de la commune.

Les chaudes températures des derniers jours, combinées à de violents orages, ont fait craindre une crue de l’Arc et de ses affluents.

La journée de jeudi a été marquée par de fortes pluies avec d’importantes rafales de vent.

L’Arc et plusieurs ruisseaux, notamment ceux des vallées de l’Avérole et du Ribon, présentaient vers 17h00 des niveaux particulièrement élevés.

Des dégâts matériels ont déjà été constatés. Plusieurs pistes de ski nordique ont été endommagées.

En fin de journée, la baisse des températures laissait espérer une baisse des niveaux d’eau.

La vigilance restait cependant de mise, le ciel étant toujours couvert avec de fréquentes averses de pluie. Une amélioration des conditions météo est attendue vendredi après-midi.

De nombreuses communes de France commémorent aujourd’hui l’Appel historique lancé par le Général de Gaulle depuis Londres, le 18 juin 1940.

Il y a 73 ans jour pour jour, au lendemain d’une capitulation déshonorante annoncée par le Maréchal Pétain, un homme refusait de "cesser le combat", s’opposant aux préconisations du nouveau gouvernement de Vichy.

Peu connu des Français à l’époque bien qu’il ait un rôle important dans l’armée (à la tête de la plus puissante des grandes unités blindées), le Général de Gaulle décida de rejoindre Londres d’où il lança via les ondes de la BBC un appel qui restera à jamais comme le symbole de la Résistance à l’Allemagne nazie.

Sûr qu’il est possible, avec le soutien des Alliés, d’écraser les troupes hitlériennes, il invite alors tous les hommes en capacité de combattre et se trouvant en territoire libre à se mettre en contact avec lui, affirmant que "la flamme de la Résistance ne doit pas s’éteindre et ne s’éteindra pas".

Peu à peu, les Forces Françaises Libres s’organisèrent autour du Général de Gaulle, avec l’espoir que la France soit un jour assise à la table des vainqueurs.

A l’intérieur des territoires occupés, c’est autour de Jean Moulin, fondateur en 1943 du Conseil National de la Résistance, que des hommes et des femmes opposés à l’occupation et à la collaboration, s'unirent pour séquestrer l’ennemi.

Il fallut attendre 1944 pour que le débarquement des Alliés permette d’engager la véritable reconquête de l’Europe et de mettre fin le 8 mai 1945 à près de six ans d’un conflit extrêmement meurtrier.

Le Général De Gaulle, entrant triomphalement dans Paris libéré le 25 août 1944, est surtout entré à jamais dans l’Histoire de France.

Devenu homme politique, il présida aux destinées de la France de 1944 à 1946, puis de 1959 à 1969.

Charles de Gaulle est décédé le 9 novembre 1970 à Collombey-les-Deux-Eglises, où il a souhaité être inhumé dans une relative discrétion.

Au gaullisme resteront attachées les notions de liberté, de grandeur et de loyauté.

Affiche résumant le contenu de l'Appel du Général de Gaulle

18 juin 1940